(enième) Réforme de l’assurance chômage : jusqu’où ?Gabriel Attal vient d’annoncer une nouvelle réforme de l’assurance chômage. Comme les deux précédentes, elle va toujours dans le même sens : moins de droits et d’indemnités pour les chômeur·ses. Alors qu’à peine un tiers d’entre elles et eux sont actuellement indemnisé·es, le gouvernement Attal ose prétendre agir ainsi pour l’emploi en luttant contre l’« assistanat ».
L’assurance chômage, elle est à nous !Dans la presse, le ministre de l’économie Bruno Le Maire a réparti les rôles entre Etat et syndicats concernant l’assurance chômage. A l’État les chômeur·ses et aux syndicats les salarié·es ! Nous refusons cette séparation factice. Les chômeur·ses sont des travailleur·ses et c’est donc aux syndicats de les organiser. En réalité, c’est un hold up que l’État commet depuis quelques années sur les finances de l’assurance chômage.
Solidaires et égales : Après le 8 mars, l’action toute l’année !Il est temps de mettre fin au système patriarcal et au capitalisme qui font des inégalités et de la violence des normes. Nous continuerons d’élever nos voix pour la justice, l’égalité et les droits des femmes dans le monde entier ! Nos luttes féministes ne s’arrêtent pas aux importantes dates calendaires. Nous les menons toute l’année. Sur nos lieux de travail et d’étude, dans la rue, dans les champs, dans les médias, dans nos espaces militants.
Au travail comme ailleurs, luttons contre la LGBTIphobie !Les attaques contre les personnes LGBTQIA+ se multiplient : appels à couper les financements du planning familial, attaques de centres, agressions physiques, campagnes de harcèlement envers les militant·es, infiltrations d’associations trans par des médias d’extrême-droite, publication du Transmania de Marguerite Stern et Dora Moutot et dans le même temps la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio lance l’offensive anti-trans au Sénat en voulant interdire les bloqueurs de puberté.
Ne laissons pas Paris aux néonazisNous refusons d’attendre après une improbable décision de la préfecture pour s’opposer à une manifestation néonazie dans nos rues. De nombreux collectifs, syndicats, partis et organisations politiques se joignent aujourd’hui en un large front antifasciste pour appeler à un événement inédit.
Ni les actionnaires, ni les réactionnaires : Un 1er mai pour les travailleurs et travailleuses Le 1er mai va se tenir dans un contexte marqué par les guerres terriblement meurtrières, notamment en Ukraine et en Palestine. Nos organisations réaffirment leur engagement pour une paix juste et durable dans le cadre du droit international, qui ne peut se faire aux conditions de l’agresseur.
Face à la haine anti-trans : construisons une riposte syndicale et transféministe !Partis politiques, médias d’extrême droite, maisons d’édition, député·es et sénateur·ices, les attaques envers les personnes trans explosent de toutes parts ces derniers temps. Marguerite Stern et Dora Moutot publient leur livre et dans le même temps la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio lance l’offensive anti-trans au Sénat en voulant interdire la transition des personnes mineures.
Déclaration de l’Union syndicale Solidaires en congrèsL’Union syndicale Solidaires a tenu son 9ème Congrès dans un contexte mondial délétère : guerres en cours ou qui menacent, nationalisme, montée de l’extrême droite, tandis que les trajectoires prises pour ralentir et stopper les changements climatiques sont plus qu’insuffisantes. Comme l’ensemble des populations, les travailleuses et travailleurs sont confronté·es directement aux conséquences de ces conflits comme de la crise écologique.
Libertés publiques... un pas de plus dans la répression !Depuis quelques semaines, on a vu se multiplier les convocations de militant·es, et une vague de criminalisation de l’action syndicale. Solidaires, tout comme l’ensemble des organisations du mouvement social défendeuses des libertés publiques, soutient les militant·es qui subissent cette répression, et continuera de dénoncer et de se battre pour les libertés publiques, fondements d’une démocratie.
La solidarité avec les palestinien·nes n’est pas un crime.Depuis plusieurs mois, la série de convocations par les services de lutte contre le terrorisme de plusieurs de nos militant·es, en raison de leur engagement envers la cause palestinienne, nous sidère et nous inquiète fortement. Le mouvement de solidarité qui s’est exprimé depuis la France connait une répression particulièrement brutale : interdictions de manifester, plaintes pour apologie du terrorisme, amendes et gardes à vue pour des personnes pour le simple fait de brandir un drapeau palestinien.
Solidarité avec la Palestine, pour la journée de la terre, les organisations syndicales se mobilisent !La « Journée de la Terre » est commémorée en Palestine depuis le 30 mars 1976, date marquée par des tirs de l’armée israélienne sur des Palestiniennes et des Palestiniens qui manifestaient contre la confiscation de leurs terres.
Communiqué de presse unitaire : La jeunesse mérite mieux que des caricatures !Des révoltes urbaines de l’été 2023 à l’actualité dramatique de ces derniers jours, le gouvernement pointe du doigt la violence de la jeunesse, omettant pourtant d’autres drames – ceux des décès récents de Lily et Myriam, confiées à l’Aide sociale à l’enfance – pour lesquels la responsabilité doit être assumée.
G.Attal au 20h de TF1 : Dur avec les plus précaires, doux avec les plus richesLa petite musique du déficit incontrôlé et de l’inéluctable austérité montait depuis plusieurs jours, sur un air de déjà vu. L’intervention de Gabriel Attal a confirmé ce singulier manque d’originalité. Rigueur, austérité… Ces mots font sérieux.
Soutien à la mobilisation de l’éducation pour un plan d’urgence en Seine-Saint-DenisDepuis le 26 février les personnels de l’Éducation nationale de Seine-Saint-Denis, avec leurs organisations CGT-FSU-SUD éducation-CNT et les parents d’élèves sont engagé·es dans une mobilisation d’ampleur pour réclamer un plan d’urgence pour l’éducation dans le 93
Mobilisons-nous contre le racisme systémique et les violences policièresLe gouvernement persiste dans sa politique autoritaire, répressive, raciste et xénophobe avec sa loi immigration, mais aussi dans la stigmatisation des personnes de confession musulmane ou supposées telles, ignorant les réalités sociales, les violences policières et le racisme systémique.