ÉditoActualitésÉvenementsCommuniquésManifestationsRéflexionsRetour sur...SyndicalismeTravail  |    dimanche 29 juin

Justice et Solidarité pour les résidents du foyer de travailleurs migrants de Boulogne


Dans l’ambiance actuelle de recherche du profit et de répression des travailleurs, les foyers et leur mode de vie solidaire et collectif dérangent aussi les gestionnaires et les pouvoirs publics qui font tout pour faire disparaître les activités collectives et solidaires, les salles de réunions et les espaces de convivialité :

  • Riquet à Paris 19e et Claude Tillier à Paris 12e : fermeture de toutes les salles
  • Marc Seguin à Paris 18e, Epinettes à Paris 17e, Boulogne : fermeture des cuisines collectives
  • Foyers Adoma du 95 et du 91 : fermeture de toutes les salles collectives
  • Résidences sociales issues des foyers de travailleurs migrants : espace collectif réduit à une petite salle, même pour des centaines de résidents.

De plus en plus souvent, les résidents n’ont plus que les couloirs et le local des boites aux lettres pour se retrouver. Casser ainsi toute vie collective, c’est obliger les travailleurs à vivre toute une vie de salarié dans les quelques mètres carrés qu’on leur loue (cher).

C’est inacceptable. C’est indigne.

Contre tout acte raciste et anti-immigrés, protection des foyers et de leurs habitants, réparations pour les victimes les travailleurs immigrés du foyer nationale ont droit a un foyer correctement rénové et entretenu avec une grande cuisine collective

Les travailleurs immigrés des foyers et des résidences sociales veulent vivre dans des vrais lieux de vie collectifs et solidaires.

Actualités

Sans surprise, le conclave a fait pschitt

Ni blanche, ni noire, le conclave n’aura finalement dégagé aucune fumée. Son échec était programmé depuis le départ. Ni le gouvernement ni le patronat n’entendaient concéder quoi que ce soit aux travailleur·euses. Encore moins revenir sur les 64 ans d’âge légal de départ. Au contraire, tous deux souhaitent reculer encore et encore cet âge légal pour éviter la catastrophe financière alors que le rapport du COR est loin d’être aussi alarmiste que ce que son président a tenté de faire croire.

Depuis plus de 40 ans, la Marche des Fiertés est bien plus qu’un arc-en-ciel de couleurs et de musique dans les rues

C’est un cri du cœur, une clameur collective pour l’égalité, la tolérance et le respect des droits humains. En 2025, On ne marche pas seul, on marche ensemble. Fièrement. Pour que l’égalité ne soit plus un combat, mais une réalité.

Les urif CGT , FSU, Solidaires apportent tout leur soutien aux organisateurs de la marche des fiertés à Paris

A partir d’une polémique construite de toutes pièces autour d’une affiche, la région IDF de France, via sa présidente Valérie Pécresse, dans une posture politique, retire les subventions régionales mettant en danger la marche, sans qu’aucun contact n’ai été pris avec les organisateurs.

Déclaration commune de la CGT, la FSU, la LDH et Solidaires

L’assassinat de Hichem Miraoui, à Puget-sur-Argens, le samedi 31 mai 2025, qui survient après celui d’Aboubakar Cissé, nous rappelle brutalement une réalité : ces drames ne relèvent pas du hasard. Ils témoignent d’une escalade préoccupante de la violence à caractère racial et islamophobes dans notre société et notamment du discours tenu par l’extrême droite.

Réforme du RSA et de l’allocation chômage : le décret de la honte !

Malgré l’avis défavorable rendu par le conseil national de la lutte contre l’exclusion, le gouvernement a publié par décret le 31 mai son régime de sanctions des demandeurs·euses d’emploi qui ne respecteraient pas leurs obligations à chercher activement du travail. Ces obligation figurent dans le « contrat d’engagement » que ces dernier·es sont contraint·es de signer avec leur conseiller·e France Travail.

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