ÉditoActualitésÉvenementsCommuniquésManifestationsRéflexionsRetour sur...SyndicalismeTravail       samedi 20 avril

Non au licenciement de Moussa !


La direction convoque ce jour au siège de la société Moussa KOÏTA, vendeur au New Look Saint Antoine, à un entretien préalable à licenciement assorti d’une mise à pied à titre conservatoire.

Il lui est reproché ni plus, ni moins de... harceler l’encadrement du magasin de Créteil ! Derrière ce grief outrancier, désavoué il y a quelques années chez Virgin, il s’agit, pour la DRH, de soutenir inconditionnellement des managers dont Moussa n’a cessé, en sa qualité de délégué du personnel, de dénoncer les agissements : ces derniers ont donné lieu à des droits d’alerte, suivis de plusieurs dépôts de plainte et de la saisine des prud’hommes par deux salarié-es de cet établissement, licenciés depuis (leur audience est prévue le 24 mars prochain).

Plus généralement, elle cherche à dissuader l’action de notre syndicat dont les représentant-es, depuis les élections de 2015, n’ont eu de cesse d’agir contre la détérioration des conditions de travail et les pressions subies par nombre d’employé-es, faisant entendre une voix sans concession dans l’ensemble des instances où nous siégeons.

Pour monter de toutes pièces cette procédure, Madame Cordin, qui crie elle aussi au dénigrement vis à vis de sa (petite) personne, n’a pas répugné à manipuler un autre membre de notre organisation, ni a instrumentaliser une partie du CHSCT dont les secrétaires feraient mieux, si elles voulaient se montrer dignes de leur fonction, de s’indigner des accidents de travail non portés à sa connaissance...

Si d’aventure la direction poursuivait la procédure de licenciement de notre camarade, qu’elle sache qu’elle s’expose à un conflit inédit sur l’enseigne : un coup porté contre l’un-e d’entre nous est un coup porté contre tous !
 
 


Documents à télécharger > Non au licenciement de Moussa !

Actualités

Ni les actionnaires, ni les réactionnaires : Un 1er mai pour les travailleurs et travailleuses

Le 1er mai va se tenir dans un contexte marqué par les guerres terriblement meurtrières, notamment en Ukraine et en Palestine. Nos organisations réaffirment leur engagement pour une paix juste et durable dans le cadre du droit international, qui ne peut se faire aux conditions de l’agresseur.

Libertés publiques... un pas de plus dans la répression !

Depuis quelques semaines, on a vu se multiplier les convocations de militant·es, et une vague de criminalisation de l’action syndicale. Solidaires, tout comme l’ensemble des organisations du mouvement social défendeuses des libertés publiques, soutient les militant·es qui subissent cette répression, et continuera de dénoncer et de se battre pour les libertés publiques, fondements d’une démocratie.

La solidarité avec les palestinien·nes n’est pas un crime.

Depuis plusieurs mois, la série de convocations par les services de lutte contre le terrorisme de plusieurs de nos militant·es, en raison de leur engagement envers la cause palestinienne, nous sidère et nous inquiète fortement. Le mouvement de solidarité qui s’est exprimé depuis la France connait une répression particulièrement brutale : interdictions de manifester, plaintes pour apologie du terrorisme, amendes et gardes à vue pour des personnes pour le simple fait de brandir un drapeau palestinien.

G.Attal au 20h de TF1 : Dur avec les plus précaires, doux avec les plus riches

La petite musique du déficit incontrôlé et de l’inéluctable austérité montait depuis plusieurs jours, sur un air de déjà vu. L’intervention de Gabriel Attal a confirmé ce singulier manque d’originalité. Rigueur, austérité… Ces mots font sérieux.

Soutien à la mobilisation de l’éducation pour un plan d’urgence en Seine-Saint-Denis

Depuis le 26 février les personnels de l’Éducation nationale de Seine-Saint-Denis, avec leurs organisations CGT-FSU-SUD éducation-CNT et les parents d’élèves sont engagé·es dans une mobilisation d’ampleur pour réclamer un plan d’urgence pour l’éducation dans le 93

Facebook




Twitter