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La prise d’acte de la rupture du contrat de travail


Depuis 2003, le/la salarié-e peut rompre son contrat de travail de sa propre initiative sans démissionner ; en prenant acte de la rupture de son contrat de travail (article L1231-1). Il faut que le/la salarié-e constate et puisse prouver que l’employeur manque à ses obligations fondamentales, ce qui rend impossible la relation de travail. Cela permet au salarié vivant une situation impossible dans son entreprise, de pouvoir mettre fin à son contrat de travail aux torts de l’employeur... sous réserve que le juge valide la prise d’acte.

 

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Actualités

Clap de fin pour la maternité de Lilas, un symbole féministe s’éteint.

C’est une page de l’histoire des droits des femmes qui se tourne : la Maternité des Lilas, institution emblématique de la Seine-Saint-Denis et pionnière du modèle d’accouchement humaniste, ferme définitivement ses portes ce 31 octobre 2025. La fermeture de la Maternité des Lilas est la 41e depuis que Macron est au pouvoir et la conséquence directe de politiques de santé publique obsédées par la rentabilité néo-libérale.

Contre le patriarcat : ni oubli, ni silence, marchons contre les violences !

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Forum France Travail/Armée de terre : non, les précaires ne sont pas de la chair à canon !

Pousser les précaires à accepter n’importe quel emploi et les obliger à postuler à des postes qui n’attirent personne est un des principaux objectifs des politiques dites « de l’emploi » mises en place par les pouvoirs publics.

Au travail, au chômage ou en retraite : toutes et tous mobilisé·es le 6 novembre contre le budget Lecornu !

Sous prétexte de « faire des économies » pour « maîtriser les dépenses publiques », il propose un plan d’austérité qui n’a qu’une seule ligne directrice : faire payer la crise aux travailleurs et travailleuses, aux retraité·es, aux jeunes, aux plus précaires, aux privé·es d’emploi, aux étudiant·es… C’est non !

Lutte contre la fraude sociale : le jeu de dupe contre les précaires !

Parallèlement au projet de loi de finances pour la sécurité sociale déposé à l’assemblée nationale, un projet de loi destiné à lutter contre la fraude sociale et fiscale a été déposé au Sénat. Rappelons que si la fraude sociale est estimée à 13 Md€ par an, la fraude fiscale est évaluée à près de 100 Md€ par an.