ÉditoActualitésÉvenementsCommuniquésManifestationsRéflexionsRetour sur...SyndicalismeTravail  |    mercredi 02 juillet

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Gestion de la pandémie et annonces de Macron : l’économie prime sur toute autre considération

En difficulté dans les sondages, Emmanuel Macron a tenté ce lundi 13 avril un exercice de rattrapage. Son allocution a débuté en reconnaissant des « ratés », des « procédures inutiles » et autres « faiblesses logistiques » dans la gestion chaotique de cette crise sanitaire par le pouvoir, mais tout en assurant désormais de sa parfaite maîtrise de la situation. Il a par ailleurs loué cette population des « riens » qu’il méprisait hier encore, mais en réalité si essentielle à la survie de la nation, tout en faisant ensuite un vibrant plaidoyer à l’innovation et autres concepts flous qui doivent permettre, selon lui, de se sortir de ce mauvais pas. Il s’est agi avant tout de tenter de redonner espoir à une population pour laquelle cette situation de les privations de libertés et les injonctions contradictoires (notamment inciter à aller travailler tout en restant confiné-es) pèsent grandement.

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Déconfinement : nos vies avant leurs profits !

En invoquant l’« espoir », la « solidarité » et même les « Jours Heureux » (sic), le chef de l’État a tenté de masquer la réalité de sa politique, qui frappe aujourd’hui notre système de santé et plus largement l’économie de ce pays. Le Président n’a eu de cesse de passer sous silence le scandale des moyens (masque, vêtements de protection, matériel médical, médicaments, etc...) qui font aujourd’hui toujours défaut dans la 6ème puissance mondiale.

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Amendes au forfait = droits au rabais !

Parmi les nombreux textes légaux sortis la semaine dernière et les moins commentés à ce jour, un décret du 28 mars dernier relatif à la « forfaitisation de la contravention de la 5e classe » devrait pourtant attirer l’attention. Car ses conséquences sont loin d’être anecdotiques. Pour rappel, les amendes sont des contraventions pénales classées de 1 à 5 selon le degré de gravité de l’infraction commise, la première étant la plus basse sanctionnée à partir de 38 €, la cinquième, donc la plus haute, pouvant aller jusqu’à 3 000 € en tarif majoré. Or ces montants peuvent être abaissés (de 4 € à 450 € selon la classe, hors cas de récidive) à la double condition que le/la contrevenant-e accepte de régler rapidement la facture et de ne pas passer par la case justice. C’est ce qu’on appelle la forfaitisation des amendes et c’est tout sauf anodin. D’autant que la personne verbalisée n’a pas le choix. Et que même certains délits sont concernés !

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Numéro Vert de l’Union Syndicale Solidaires : plusieurs centaines d’appels en une semaine de fonctionnement

L’Union Syndicale Solidaires a mis en place depuis le 30 mars un Numéro Vert pour aider les salariées, les chômeurs/ses, les étudiant-es à faire valoir leurs droits. Depuis une semaine, ce numéro d’appui syndical animé par des militant-es de tous les secteurs a d’ores et déjà montré tout son intérêt puisque des centaines d’appels de salarié-es, précaires, chômeur-euses, étudiant-es et agent-es publics s’y succèdent.

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Lettre ouverte à Muriel Pénicaud : « Cessez votre politique criminelle ! »

Depuis le début de l’épidémie votre gouvernement envoie aux travailleurs des messages contradictoires : « restez chez vous à tout prix », « allez travailler pour le pays ». Alors bien sûr, les professions de santé et du care, les caissières, les éboueurs, les agriculteurs, les chauffeurs routiers et d’autres professions vitales en ce moment pour le pays se mobilisent tous les jours, malgré l’ahurissante pénurie de moyens de protection et de dépistage dont vous, votre gouvernement et les précédents serez comptables. Elles luttent pour la vie, au péril de la leur, et il faudra aussi s’en souvenir.

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L’activité partielle, une bonne affaire patronale !

L’activité partielle a remplacé le chômage partiel (ou chômage technique) le 1er juillet 2013. En cas de cessation temporaire ou de baisse de l’activité, elle permet à un employeur de placer ses salarié-es en activité partielle, les indemniser de la perte de revenus tout en étant aidé par l’Etat qui lui verse une allocation. L’employeur peut être une entreprise, une association voire provisoirement un particulier. En effet, depuis l’ordonnance du 27 mars 2020 prise à la suite de la crise du coronavirus et parer à ses « conséquences économiques, sociales et financières », ce dispositif a été étendu jusqu’au 31 décembre 2020 à de nouvelles catégories de salarié-es.

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Pour combattre le Covid-19, il faut des mesures radicales et un choc de solidarité !

Issus du mouvement social, les initiateurs/trices de cet appel ont appris à travailler ensemble lors de la catastrophe de Lubrizol à Rouen. Citoyens indignés, syndicalistes, associatifs, médecins, chercheurs, mobilisés face au Covid-19 dans leurs différents secteurs, ils/elles ont ressenti partout l’exigence de mesures radicales et d’un choc de solidarité contre le Covid-19 et la politique du gouvernement. Ils/Elles lancent un appel urgent.

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Les choix délibérés de ce gouvernement font monté la colère

Les unions régionales Ile-de-France (URIF) CGT, FO, Solidaires, FSU, avec l’UNEF et l’UNL, tiennent avant tout à exprimer leur soutien total aux salarié.e.s qui sont en première ligne pour faire tourner le pays et en particulier la région Ile-de-France, dans des conditions inacceptables mettant en péril leur vie et celle de leurs proches : les soignant.e.s en premier lieu, les personnels d’entretien, les postiers, les pompiers, les territoriaux, les routiers, les salarié.e.s des magasins d’alimentation – professions souvent les plus mal rémunérées !


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